Conseils-Nutritionnel-Diététique

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Mes Résolutions Diététiques Pour L'année 2021

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Mes résolutions de l'année 2021pour une alimentation équilibrée
 
Je mange moins salé
Je mange moins sucré
Je grignote malin
Je réduis les portions
J'ajoute des fibres à mes repas
J'équilibre mon alimentation au cours de la journée
Je mange 5 fruits et légumes par jour
 
Réduire le sel, diminuer la quantité de sucre, consommer plus de fibres. Cette année, on prend quelques bonnes habitudes alimentaires simples, faciles à tenir et qui changent vraiment notre équilibre nutritionnel.
 
Je mange moins salé
 
Une consommation excessive de sel favorise l'hypertension, elle-même à l'origine de maladies cardio-vasculaires et d'insuffisance rénale. S'il ne fait pas grossir, il fait gonfler les personnes sujettes à la rétention d'eau. L'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) recommande d'en consommer 2 grammes par jour.
La règle essentielle pour manger moins salé est de ne pas acheter de préparations industrielles où le sel est présent en trop grande quantité sans même que nous en ayons conscience. Comme le palais s'habitue progressivement aux changements de saveur, diminuez petit à petit les quantités de sel dans vos plats. Et rappelez-vous qu'il n'est pas besoin d'en rajouter par exemple dans la préparation d'une quiche déjà salée par les lardons et le fromage!
 
Astuce pour manger moins salé: on remplace le sel par des herbes aromatiques et  des épices 
Je mange moins sucré
 
Le sucre blanc et les préparations sucrées ne doivent pas représenter plus de 10% des apports caloriques de la journée (soit 50 g pour une alimentation à 2 000 kcal). Si vous ne pouvez vraiment pas vous passer d'une touche sucrée au dessert ou au goûter, vous pouvez remplacer le remplacer par du miel bio dans votre yaourt ou vos pâtisseries maison.
Mais le plus important est de réduire la quantité consommée et de préférer le sucre complet de canne qui contient des vitamines et des sels minéraux contrairement au sucre blanc raffiné.
Astuce pour manger moins sucré : on bannit de son alimentation tous les produits industriels sucrés. On cuisine ses desserts en divisant par deux la dose de sucre ou en le remplaçant par des produits de substitutions. Si vous êtes accro au sucre, prenez l'habitude plutôt de finir votre repas par un fruit ou un carré de chocolat à 70% de cacao.
 
Je grignote malin
 
Le goûter est un repas qui a sa place dans une alimentation équilibrée. Il permet de moins manger le soir et de ne pas vous ruer sur un apéro en attendant le dîner.
A condition qu'il soit sain et vraiment composé de nutriments essentiels.
A base de fruits frais ou secs, de laitages natures, ou pour celles qui préfèrent le salé, d'une tranche de jambon ou d'un œuf dur, ce break permet d'éviter les coups de barre en fin d'après-midi et de réguler l'appétit. On évite les boissons sucrées et les barres chocolatées.
 
Astuce pour un goûter léger : pour ne pas craquer sur des aliments à éviter, ayez toujours une pomme à croquer sous la main. Ce fruit à la vertu rassasiante modère l'appétit et favorise la digestion.
 
Je réduis mes portions
 
Une alimentation équilibrée n'exclut aucun aliment. En revanche si certains sont à manger sans modération (fruits et les légumes), d'autres doivent être consommés en plus petites quantités et occasionnellement. Ainsi les plats frits, gras et sucrés doivent rester un petit « plaisir exceptionnel ». Si on ne peut pas résister aux frites, quand on craque, on divise la portion par deux et on les accompagne de salades ou de légumes.
En revanche, pour réapprendre à gérer la faim (la vraie), on réduit les portions dans les assiettes. On a tendance à manger trop et trop vite, sans écouter notre sentiment de satiété. En réalité, en mangeant moins, on n'aura pas forcément faim avant le prochain repas.
 
Astuces pour réduire les portions : On commence par utiliser des assiettes plus petites.
 
A table, on évite aussi de se resservir. La meilleure méthode pour ne pas être tenté de remplir son assiette est de manger doucement, très doucement, et de mâcher plus. Ainsi vous diminuerez la prise calorique à chaque repas. Selon une étude de la Texas Christian University (Etats-Unis) publiée en mars 2014 dans le Journal of the Academy of Nutrition and Dietetics, la prise alimentaire est diminué de 9,5% lorsqu'on mastique les aliments deux fois plus que d'habitude.
 
J'ajoute des fibres dans mon assiette à chaque repas
 
Les fibres sont importantes pour notre bonne santé car elle améliore le confort intestinal en augmentant le poids des selles et en réduisant la durée du transit intestinal.
Ainsi, elles luttent contre la constipation et permettent de réguler la glycémie. On ne doit pas faire l'impasse sur leur consommation. Selon les recommandations officielles, il faut manger entre 25 et 30 g de fibres par jour.
Astuces pour en manger plus : On préfère les céréales complètes au riz ou aux pâtes blanches. On peut ajouter à ses menus des légumes secs (lentilles, pois chiche) qui se cuisinent aisément en accompagnement ou en salades et manger plus de fruits frais et secs.
 
J'équilibre mon alimentation au cours de la journée
L'équilibre alimentaire passe par une meilleure répartition des aliments au cours de la journée.
Un petit déjeuner riche en protéines contribue à freiner l'appétit tout au long de la matinée.
 
Il est essentiel pour maitriser sa faim et son poids de rééquilibrer la répartition de la consommation des protéines aux différents repas. On consomme suffisamment de protéines, mais finalement trop peu au petit-déjeuner et beaucoup trop au diner. Alors que le soir le corps va se mettre au repos, il a moins besoin d'énergie.
 
Astuce pour équilibrer son alimentation: je retiens ce vieil adage : Mange comme un roi au petit déjeuner, comme un prince au déjeuner et comme un pauvre au dîner ...
 
Je mange 5 portions de fruits chaque jour
 
Car ils sont essentiels à notre santé ; Riches en vitamines, en minéraux en fibres et pauvres en calories, ces aliments ont tout intérêt à représenter une grande part de notre alimentation. Ils ont un rôle essentiel dans la prévention des maladies, comme les cancers, les maladies cardiovasculaires, l'obésité, et le diabète.
 
Consommés crus et entiers, les légumes conservent tous leurs nutriments et vitamines et c'est donc sous cette forme qu'ils nous protègent le mieux. Cependant, si vous avez l'estomac fragile, préférez les fruits et légumes crus qui sont plus faciles à digérer.
 
Astuces pour en manger plus  : on prépare des salades variées riches en crudités et des salades de fruits. On a toujours à disposition une pomme sous la main à croquer.
On se facilite la vie avec les préparations natures (sans sel, sans matière grasse).
 
Sur ce je vous souhaite une bonne et heureuse année
 
Merci de me lire !!!
Diététiquement
Yas’mine Diet

 

 

 


30/12/2020
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Comment Avoir Du Sperme De Qualité Grâce à Une Alimentation Saine

 
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Comment  booster la qualité du sperme par une alimentation saine ?
 
Envie de bébé avec votre partenaire ? Sachez que les hommes aussi doivent adopter les bons gestes pour augmenter les chances de conception. En effet, la qualité du sperme (et donc la fertilité) passe par l’alimentation et l’hygiène de vie, comme chez la femme.
 
Booster la fertilité en adoptant une alimentation équilibrée…….
 
L’alimentation joue un rôle dans la fertilité de l’homme. Pour booster la fécondité et permettre au corps de produire un sperme sain, il est important de faire attention au contenu de notre assiette dès le désires d’enfant…
Pour augmenter la production de sperme, privilégiez les aliments riches en antioxydants qui vous protègent des agressions extérieures telles que la pollution, le stress, les rayons UV ou le tabac. Dites oui aux légumes verts, fruits, légumineuses ( haricot secs, poids de terre, lentilles,soja), huiles végétales, fruits à coque, thé vert, chocolat noir et aux épices (curry, curcuma, gingembre).
 
Les aliments riches en magnésium, vitamine B9, sélénium et en zinc sont également conseillés. De plus, des études ont démontré que la carnitine et le coenzyme Q10 améliorent la fertilité masculine.
 
Les omégas 3 agissent également sur la qualité du sperme : on les retrouve notamment dans les noix et l’huile de noix, les poissons gras (saumon), et les huiles végétales comme l’huile d’olive, de cola, tournesol etc
 
Par contre, les aliments trop gras nuiraient à la fécondité. Evitez donc les chips, les kebabs, la charcuterie et les viennoiseries pendant quelque temps.
 
Maintenir la bonne température
 
Pour favoriser la bonne santé de vos spermatozoïdes, sachez qu’il est conseillé de les maintenir à une température inférieure de 2° par rapport au reste du corps. En résumé, on oublie les saunas, hammams et jacuzzi, les pantalons trop moulants, le portable dans la poche du pantalon et l’ordinateur posé sur les cuisses.
 
Adaptez une bonne hygiène de vie
 
Il n’y a pas que les femmes qui doivent réduire leur consommation d’alcool pendant les essais bébé, les hommes aussi ! En effet, ceux qui consomment trop d’alcool produiraient un sperme de moins bonne qualité car moins concentré en sperme. Ils auraient également davantage de troubles de l’érection.
 
De plus, et ce n’est pas une surprise, le tabac est nocif pour la fertilité car il peut diminuer la production des spermatozoïdes. Si vous fumez, essayez d’arrêter ou au moins de réduire votre consommation. Par ailleurs, le tabagisme passif est également dangereux : veillez à éviter les lieux enfumés (bars, soirées privées) si vous essayez de faire un bébé. Il en est de même pour les drogues diverses et variées qui peuvent réduire la concentration de sperme.
 
On sait également que le poids est un facteur qui peut interférer avec la fertilité masculine. L’obésité, le surpoids comme la maigreur ont un effet négatif sur la qualité du sperme.
 
 
Avoir une alimentation équilibrée et pratiquer une activité sportive régulière (mais sans excès) est la recette idéale pour maintenir un poids stable et donc produire un sperme de bonne qualité.
 
Autre conseil pour améliorer la qualité de votre sperme : avoir un bon sommeil réparateur.
 
Gérer son stress
 
On le sait désormais, qui dit stress dit difficulté à concevoir. En effet, le stress interférerait avec les hormones, affecterait la production du sperme et réduirait ainsi les chances de conception. Pratiquer une activité sportive, s’initier au yoga, à la méditation et à d’autres exercices de relaxation peuvent vous aider à mieux gérer votre stress. Certaines activités, notamment le dessin ou le jardinage, s’avèrent également excellentes pour se détendre.
Se mettre au bio pour éviter les perturbateurs endocriniens
 
On en parle de plus en plus : les perturbateurs endocriniens présentent des risques sérieux pour la fertilité. Ces substances chimiques sont capables d’interférer avec nos hormones et les glandes endocrines. 
 
Résultats,ces agents qui perturbent notre système hormonal nuisent à la fécondité des femmes et des hommes. On les soupçonne aussi de provoquer des cancers du testicule.
On retrouve ces perturbateurs endocriniens dans les produits de la vie de tous les jours tels que les cosmétiques, les produits ménagers et les peintures. Ils sont également présents dans les fongicides et les pesticides : soit dans ce que nous mangeons. Prudence donc.
Pour limiter les risques, mieux vaut consommer des produits bio et naturels, qu’ils soient alimentaires, cosmétiques, ménagers et autres.
 
 Mes conseils diétetique pour un sperme plus sain .
 
Voici donc les 10 choses à faire ou à éviter pour améliorer la  qualité:
 
- Évitez l’alcool, la caféine, les drogues récréatives et la nicotine car ils polluent votre sperme ;
 
- Buvez beaucoup d’eau. Un à deux litres par jour pour éliminer les toxines du corps ;
 
-Consommez de fruits chaque jour, cela vous permettra de sucrer vos spermatozoïdes. L’ananas, le citron, l’orange, le kiwi, la papaye, le melon, les mangues, les pommes et les raisins sont tous recommandés. Ces fruits sont riches en sucres naturels et ils compensent le goût amer ;
 
- Mangez beaucoup de légumes, ils sont généralement bons pour améliorer le goût mais aussi la qualité du sperme ;
 
S’il est vrai que les végétariens ont généralement une meilleure saveur de sperme il y a, toutefois, des légumes à éviter : Tous les légumes de la famille des Brassicacées, à savoir le chou-fleur, le brocoli… 
 
-Diminuez la consommation de la viande rouge, préférez plutôt les volailles et le poisson. Le poisson est, quand même, un élément important dans une alimentation saine, il ne faut pas s’en priver en l’éliminant de vos assiettes!
 
 
-Évitez les épices fortes comme l’ail et les oignons, ils influencent significativement sur la qualité sperme, car ils contiennent beaucoup de soufre.
 
En raison de leur forte teneur en chlorophylle, le persil, et le céleri sont particulièrement recommandés pour obtenir  du sperme nutritif ;
 
La cannelle, la menthe et le citron sont vos meilleurs alliés pour le développement d’un sperme nutritif;
 
-Évitez la mauvaise bouffe, elle est chargée de produits chimiques et de conservateurs qui polluent votre corps et le goût de votre sperme.
 
Ainsi une bonne alimentation est synonyme de sperme en bonne santé!
 
-Essayez de manger des aliments naturels, voire Bio.
 
 
-Essayez de prendre un supplément de zinc et de sélénium, tous les deux sont nécessaires pour un sperme sain.
 
Enfin, une forte odeur de sperme n’est pas bon signe, elle peut signifier qu’il s’agit d’une infection. 
L’objectif d’un régime alimentaire sain est de préserver un bon état de santé en général, et les recommandations citées ci-dessus ne vous aideront pas seulement à améliorer le goût de votre sperme, mais notamment à vous sentir mieux et en bonne forme.
 
Un dernier conseil pour la route !
 
Gardez à l’esprit que vous pouvez, quand vous voulez et quand vous le désirez, consommer de façon normale des aliments non recommandés pour le goût du sperme.
Vous n’allez tout de même pas vous priver de tous ces aliments à vie. Hein…
 
Vous pouvez, de temps à autre, profiter de la viande rouge et pourquoi pas de repas épicés. Seulement rappelez-vous toujours que ce que vous consommez met normalement entre 12 et 24 heures avant d’être sécrété.
Vous devez prendre cela en considération avant de manger, surtout la veille du jour où vous êtes censés offrir à quelqu’un tout le potentiel de votre sperme nutritif!
 
#Merci bien !
#Diététiquement !
 

08/10/2020
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Les Bonnes Habitudes Pour Réussir Nos Projets

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Les Bonnes habitudes Pour Réussir Nos projets 
 
 
Dans cet article je voulais vous parler de mes habitudes favorites pour réussir nos projets ! 
 
 
1.Se lever tôt
 
On dit que l’avenir appartient à ceux qui se lèvent tôt. Et c’est un fait, être opérationnel tôt le matin permet de passer une matinée plus productive et donc d’avancer plus rapidement dans son travail.
 
Rassurez-vous, pas besoin de se lever à 04H du matin non plus  De mon côté, j’essaie de commencer à travailler à 06H, après un vrai petit-déjeuner. Le matin, je réalise les tâches les plus importantes qui me demandent le plus de concentration. C’est prouvé, nous sommes plus productifs le matin ! Alors, gardez les activités qui demandent moins d’énergie après votre temps de midi.
 
2. Continuer d'apprendre
 
Le monde évolue. Il est donc indispensable de continuer à se former. Vous ne devez pas forcement prendre des cours du soir. Internet regorge d’informations et de formations en ligne.
 
Au-delà de l’acquisition des nouvelles compétences, continuer d’apprendre permet de vous apporter des nouvelles idées et d’avoir toujours une longueur d’avance.
 
 
3.Planifier
 
Pas de réussite sans planification ! Il est indispensable d’avoir des objectifs sur le long terme, afin de savoir quoi faire dans les prochains mois.
 
Il est également important de se concentrer sur l’essentiel. Evitez de vous disperser dans des activités qui vous éloignerons de votre but. Planifier permet de prendre du recul par rapport au travail fait. Vous pourrez vous assurer que vous êtes dans la bonne direction.
 
4.Faire une activité sportive
 
C’est prouvé également : avoir une activité sportive régulière permet d’être plus efficace, d’être plus résistant au stress et de mieux dormir.
 
Et de manière générale, c’est de toute façon bon pour votre corps et votre mental.
 
Choisissez une activité en fonction de votre agenda et soyez régulier. Inutile de planifier trois visites à la salle de sport chaque semaine si vous ne pouvez pas.
 
Vous pouvez par exemple remplacer certains petits trajets en voiture par de la marche à pieds ou du vélo.
 
 
5.Faire ce qu'on aime
 
Cela parait évident, mais faire ce qu’on aime est indispensable pour réussir. Concentrez-vous sur ce que vous aimez uniquement et mettez votre énergie dedans.
 
Certes, il y a toujours des parties moins fun comme la comptabilité, l’administratif, … Si certains points vous semblent trop lourds, n’hésitez pas à les déléguer à une assistante administrative qui travaillera à distance pour vous. C’est un investissement au début, mais vous y gagnerez en ne perdant plus du temps sur des tâches que vous n’aimez pas.
 
6.Prendre du temps pour soi 
 
Une étude de la revue médicale Journal of Occupational and Environmental Medicine dit qu’il est inutile de travailler plus de 50 heures par semaine. Au-delà de ce quota, nous mettons notre santé en danger. Il peut y avoir des périodes de rush, mais évitez à tout prix de surcharger vos journées. Travailler tous les soirs et tous les week-ends n’est pas une habitude à avoir.
 
Gardez du temps pour vous, pour vous reposer ou voir vos proches. Cela vous permettra d’être plus reposé, et donc, plus productif.
 
 
7.Éprouver de la gratitude
 
Nous avons tendance à voir le mauvais côté des choses : un devis non-accepté, une remarque négative,… Et pire, nous avons tendance à nous concentrer uniquement sur cette énergie négative.
 
A la place, prenez l’habitude de noter les choses pour lesquels vous avez de la gratitude. Notez ces gratitudes est un exercice important. 
 
Merci de me lire!
 
#Diététiquement parlant!!!
#YasmineDiet
 
 
 
 
 

06/09/2020
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Les dangers de la malboufe

 

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Les dangers de la malboufe!!

 

 

La malbouffe est aussi toxique que la drogue !!!

 

Manger bien c'est certainement la meilleure façon d'être et de rester en forme. Malheureusement les fruits, les légumes, le poisson etc... Bref manger varié coute cher. Les burkinabés sont obligés de faire des choix de plus en plus difficiles, d'où la malbouffe.

il ne faut pas mettre tout sur le dos de la malbouffe non plus...d'autres facteurs entrent en jeu....c'est tout une question de quantité....c'est l'excès qui est néfaste (de quoi que ce soit d'ailleurs) et à mon avis, il vaut mieux manger un hamburger que de se gaver de pommes, soit disant parce que c'est 'bon pour la santé'...car je pense qu'il faut prendre en compte la notion de comportement alimentaire...C'est l'accumulation d'excès sur un long terme qui sera mauvais donc il ne faut pas trop dramatiser tout ça!!!!

 Entre l'excès de graisses qui provoque des infarctus, l'excès de sel une HTA ou une insuffisance rénale, et l'excès de sucre un diabète, la malbouffe est responsable de maladies graves et potentiellement mortelles.

La malbouffe est l’un des fléau de notre époque, surtout chez les jeunes et cela n’est pas sans danger pour notre cerveau expliquent des chercheurs américains

Le « junkfood » ou malbouffe est l’un des fléaux de notre société actuelle, et elle est encore plus parlante chez les jeunes qui se nourrissent de kebabs, hamburgers et autres panini très en vogue dans nos villes. Aujourd’hui il est bien plus facile de trouver un vendeur de panini qu’un vendeur de fruits et légumes…

Pourtant cette malbouffe à haute dose à de graves conséquences sur la santé de ceux qui en usent et en abusent, jusqu’à l’addiction parfois. Trop sucrés, trop salés, pauvres en apports en fibres et en vitamines et évidemment bourrés de produits chimiques. Il faudrait en consommer le moins possibles mais ça nous le savons depuis longtemps…

 

Les dangers de la malboufe..

 

Aujourd'hui, la plupart des aliments sur notre table sont transformés, c'est-à-dire qu'ils sont passés par un processus industriel, tandis que notre consommation de produits frais, elle, baisse. Mais le consommateur, dans tout cela, risque-t-il de tomber malade ?

 

 

Quels sont les  effets de la malboufe?  

 

De plus en plus les spécialistes  de l’alimentation accusent la nourriture industrielle d'être trop grasse, trop sucrée, trop salée et trop pauvre en fruits et légumes frais. La malbouffe serait, pour certains, responsables de ces chiffres alarmants : 8 millions d'obèses, plus de 500 000 insuffisants cardiaques, 10 millions d'hypertendus, plus de 2 millions de diabétiques et 25 % de cancers liés à une mauvaise alimentation dans le monde.

Cependant l'excès de gras, par exemple, augmente directement le risque des maladies cardio-vasculaires. Le cholestérol bouche les artères et peut provoquer un infarctus. Pourtant, un adulte sur cinq présente un taux de cholestérol sanguin supérieur à 2,5 g par litre. Ainsi l'excès de sel, quant à lui, augmente le risque d'avoir de l'hypertension artérielle ou une insuffisance rénale, alors que l'excès de sucre accroît celui d'avoir un diabète sucré. Et lorsqu'il est associé à un manque d'activité physique, c'est l'obésité qui guette.

Plusieurs autres maladies sont liées à notre mauvaise alimentation, le manque de vitamines et de sels minéraux. Une carence en vitamine D et en calcium aggravent la perte de densité osseuse et peut ainsi entraîner l'ostéoporose.

A l'inverse, de nombreuses études rapportent le rôle protecteur des fruits et des légumes contre plusieurs cancers. Une alimentation qui n'est donc pas assez variée, qui manque de fibres, augmente le risque de cancer, notamment les cancers digestifs. Cependant entre malbouffe ou légumes, certains ont fait leur choix…Ainsi Quand on n’aime pas les légumes, le repas devient vite un régal de produits transformés, avec beaucoup d’huile, de sucre et de sel…

Aujourd’hui, des scientifiques de l’université de Yale (États-Unis) nous expliquent également, dans ce rapport, qu’un régime trop riche en graisses et en glucides provoque une inflammation d’une partie du cerveau (l’hypothalamus), en seulement trois jours… Les chercheurs ont en effet découvert que des modifications structurelles se produisaient parmi les cellules microgliales. Il faut rappeler également qu’une consommation quotidienne de « malbouffe » présente de nombreux risques comme…

 

SurpoidsObésité

 

Aujourd’hui au Burkina Faso, il y a des jeunes qui sont déjà en surpoids voire en obésité. Ce n’est pas un secret, le junkfood est très riche en graisses de toutes sortes et va donc venir s’installer insidieusement dans le corps de nos ados. Qui plus est, ces adolescents ne sont pas très enclins à se dépenser physiquement et n’élimineront pas les graisses accumulées par des repas trop fréquents au fast-food du coin !

 

Les maladies cardiovasculaires :

 

Les graisses saturées contenues dans la malbouffe empêchent le fonctionnement normal des artères et finissent par les boucher. Une étude menée par des chercheurs de l’Institut de Cardiologie de Montréal en 2012 montre que les artères se dilatent 24% moins bien après un repas de malbouffe. Le sang coagule donc plus facilement, forme des caillots qui bouchent les artères et entraînent au mieux un accident cardiaque se résolvant par la pose de stens dans les artères, au pire par une crise cardiaque fatale !

 

Le diabète 

 

Des chercheurs ont inventé un "pansement électrique" pour prévenir les infections

Les repas servis dans ces restaurants sont souvent trop riches en graisses et en sucres, cela peut provoquer des désordres métaboliques dont le diabète. En ingérant trop de sucre, l’organisme ne produit plus assez d’insuline pour réguler le taux de glycémie. Le diabète se dévoile en général vers 40 ans mais touche malheureusement de plus en plus d’enfants et d’adolescents « victimes » de leur époque et donc de la malbouffe.

 

L'hypertension artérielle:

 

En plus du gras et du sucre, les repas sont souvent également chargés en sel, ce qui augmente la pression du sang, détériore les parois des vaisseaux sanguins et donne de l’hypertension.

 

Les risques du cancer:

 

Tous les facteurs énoncés ci-dessus peuvent à terme provoquer le cancer de certains organes comme la prostate, le pancréas, l’intestin ou l’utérus. En affaiblissant l’organisme par le manque de vitamines, protéines ou encore fibres dont ces en-cas sont souvent dépourvus.

 

LES CONSÉQUENCES DE LA MALBOUFFE SUR LE CERVEAU

 

Obésité, insuffisance cardiaque, hypertension, diabète et même cancer. La malbouffe est aujourd'hui accusée de tous les maux. Et aujourd'hui, les scientifiques affirment même qu'elle peut avoir des conséquences sur le fonctionnement du cerveau.

Lorsque nous avalons des chips, un hamburger ect.., différentes zones de notre cerveau se met en branle.

Notre cerveau pris dans un cercle vicieux

 

C'est d'abord notre système de récompense qui s'active. Notre cerveau libère de la dopamine... à forte dose. C'est elle qui nous procure ce sentiment de bien-être que nous connaissons bien. L'ennui, c'est que notre cerveau, se sentant submergé, peut avoir tendance à créer de nouveaux récepteurs à dopamine. Résultat : pour atteindre un même niveau de plaisir, nous aurons besoin de manger toujours plus de fast food. Sous l'action du sucre, c'est ensuite notre hippocampe qui s'enflamme. Or, l'hippocampe est le siège de la sensation de satiété. Lorsqu'il est attaqué, il n'a plus de cesse que de nous envoyer des signaux de faim. Là encore, un véritable cercle vicieux !

 

La malbouffe s’attaque aux cerveaux des enfants

Le cortex préfrontal joue un rôle majeur dans le contrôle de nos impulsions. Et celui-ci n'arrive à maturité qu'aux alentours de l'âge de 20 ans. Or, des expériences menées sur des rats le montrent, consommer du sucre à outrance peut altérer le développement du cortex préfrontal. Des adultes ayant bu des sodas en quantité dans leur enfance et leur adolescence pourraient ainsi présenter des difficultés à suivre les règles.

 

Entre bêtise et tristesse

 

La malbouffe peut également nous rendre idiots, au sens propre du terme. Car avaler cheeseburgers et pizzas à longueur de temps nuit à la plasticité du cerveau, indispensable à la création de nouveaux souvenirs et à l'apprentissage. Et la malbouffe, quoi qu'on en dise, nous rend finalement tristes. Comment ? En réduisant le taux de fabrication de nouveaux neurones par l'hippocampe. Des recherches ont en effet établi un lien entre un nombre réduit de jeunes neurones et des maladies neurologiques telles que la dépression. Parce que manger gras et sucré nous remonte momentanément le moral, nous avons tendance à manger de plus en plus gras et de plus en plus sucré. Un comportement qui, en fait, nous rend encore plus tristes. Un cercle vicieux de plus à mettre à l'actif de la malbouffe !

 

Comment lutter contre les effets de la malboufe.

 

La bonne nouvelle est que la tendance peut être inversée. En mangeant davantage de fruits et de légumes, riches en antioxydants, nous combattons les inflammations initiées par la malbouffe. Les poissons  et les avocats par  exemple, quant à eux, dopent le taux de fabrication de nouveaux neurones. Et l'exercice physique a un effet positif sur la neuroplasticité du cerveau.

Des conseils pour retrouver une bonne alimentation

Quand on a pris de mauvaises habitudes avec les chips, les pizzas et les sucreries, la consultation avec une diététicienne  peut aider à retrouver progressivement les repères qui permettent d'avoir une bonne alimentation.

 

Au final pas de morale guerrière dans cet article juste une mise en garde pour les plus jeunes (et les plus vieux aussi) qui pensent que manger rapidement et que ce genre de nourriture n’a pas d’influence sur leur santé… Dans l’immédiat peut-être mais dans dix ou vingt ans, rien n’est moins sûr !

                                                       

 

Merci de me lire!!!

 

#Diétetiquement

#Yas'Mine Diet


10/08/2020
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Comment Debuter la Diversification Alimentaire Chez Le Bébé à 6mois

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COMMENTDÉBUTERLADIVERSIFICATION ALIMENTAIRE ?

 

Et puis voilà. Il va bien falloir se décider à introduire de nouveaux aliments, d’ailleurs plus pour la découverte de nouveaux goûts et de nouvelles textures que pour des raisons nutritionnelles car le lait maternel ou infantile qu’il consomme en quantité importante (environ 800 ml par jour de la naissance à -5-6 à mois – puis environ 500 ml par jour de 5 à 12 mois) couvre à lui tout seul au moins 70% de ses besoins nutritionnels.

 

ALORS,PARQUOICOMMENCER ?

 

Tout d’abord rassurez-vous. Débuter la diversification alimentaire ne repose pas sur des règles strictes définissant la nature, la quantité et le moment précis d’introduction des aliments.

 

Celle-ci doit reposer sur le bon sens et l’écoute des réactions de l’enfant. De plus, ces notions diffèrent d’un pays à l’autre et les enfants s’en portent tout aussi bien. Donc, pas d’inquiétude, tout ira bien.

 

A partir de  6 mois vous avez le temps pour introduire peu à peu toutes les familles d’aliments. En effet, à un an, un enfant est capable de tout digérer, même des légumes secs à condition qu’ils soient en purée (privilégier la purée , très digeste).

 

 À PARTIR DE QUEL ÂGE DÉBUTER LA DIVERSIFICATION ALIMENTAIRE ?

 

Mais commençons par le commencement, entre l’âge de 5 et 6 mois révolus (l’OMS recommande un allaitement exclusif jusqu’à 6 mois révolus).

 

Pourquoi pas avant ? Parce que ce n’est qu’après le 5ème mois que la déglutition volontaire se met en place. L’alimentation peut alors s’épaissir et l’on peut lui faire découvrir la cuillère (que vous proposerez tiède et de petite taille ; pensez au choc de la transition d’avec le sein et la tétine, bien mous et bien chauds).

 

Vous pouvez donc commencer par un peu de céréales infantiles dans les biberons de lait du matin et du soir pour les rendre un peu plus rassasiants. Ceci permettra à l’enfant d’attendre son prochain petit repas du déjeuner et du petit déjeuner après une nuit que je vous souhaite calme. Vous pouvez ajouter progressivement, une puis deux cuillères à café pour 100 ml de lait. Ce sera le précurseur du pain qu’il mangera par la suite au petit-déjeuner.

 

LES LÉGUMES POUR DÉBUTER LA DIVERSIFICATION ALIMENTAIRE

 

Tous les légumes peuvent lui être donnés à l’exception, des choux, des choux-fleurs, des poivrons qui sont difficiles à digérer et qui pourraient favoriser la production de petits gaz, sources de ventre ballonné et inconfortable. Pas de légumes secs non plus avant 15 mois.

En revanche, n’hésitez pas à vous lancer dans des purées créatives ou des petites soupes un peu épaisses, en y mettant un peu de pommes de terre pour qu’elles soient plus homogènes et onctueuses.

Commencez par une belle cuillère à soupe de purée de légumes au déjeuner (repas le plus important de la journée). Il tétera le contenu de la cuillère et vous lui ferez terminer son repas par le sein ou le biberon de lait.

Vous augmenterez ensuite peu à peu la quantité de purée en fonction des réactions de l’enfant. S’il refuse, ne pas insister et lui donner son biberon de lait. Il suffit d’attendre que votre enfant soit prêt à accepter cette nouveauté de goût et de couleur. Ainsi resollicitez le quelques jours après. Il n’y a pas d’urgence. Au demeurant, il est souhaitable de lui faire découvrir le goût de chaque légume séparément.

Cependant concernant la fréquence d’introduction, tout dépend des réactions de votre enfant. S’il est « facile », vous pouvez quasiment lui faire découvrir un nouveau légume par jour. Si, en revanche, il est plus « craintif » envers la nouveauté, consolidez ses sensations en maintenant le même légume pendant 2 à 3 jours.

 

LES FRUITS

 

Concernant les fruits. Vous pourrez également les introduire assez tôt, vers 5 à 6mois. Ils ont un goût sucré. Ils seront donc assez facilement acceptés. Vous pourrez les lui proposer en compote, ou crus bien mûrs et écrasés.

Il ne faut pas sucrer les compotes. A signaler qu’elles ne le sont quasiment pas quand elles sont en petits pots pour bébés. Vous pourrez en donner au repas du soir, avec le biberon. Vous pouvez aussi intervertir avec les légumes. Il n’y a pas de règles précises.

 

LES PROTÉINES 

 

Ensuite, entre 6 et 7 mois, vous pouvez commencer à introduire un peu de viande ou poissons ou de l’œuf.

Commencer par une cuillère café de viande ou de poissons bien cuits et mixés. Ensuite, vous pourrez augmenter progressivement la quantité de viande ou de poisson de telle sorte qu’à un an l’enfant ne mange pas plus de 20 g de ces aliments à un seul repas par jour (ou un demi œuf).

 

LES MATIÈRES GRASSES POUR DÉBUTER

LA DIVERSIFICATION ALIMENTAIRE 

 

Beurre et huiles peuvent être introduits dès l’âge de 6 à 7 mois, car ils sont indispensables au bon développement du cerveau de bébé (entre autres). Une petite pointe de beurre dans la purée et une petite cuillère à café d’huile d’olive ou de colza dans les petits plats faits maison, et ce sera très bien…

 

UN JOURNÉE TYPE POUR UN BÉBÉ DE

6MOIS

 

Petit-déjeuner : lait maternel ou un biberon de lait de suite avec 3 à 4 cuillères à café de céréales infantiles.

Déjeuner : 2 à 3 cuillères à café d’une purée de légumes suivie du biberon de lait maternel ou lait de suite.

Goûter : lait maternel ou biberon de lait de suite

Dîner : 2 à 3 cuillères à café de compote et biberon de lait de suite (ou sein).

Si l’enfant prend 4 biberons par jour, ils peuvent faire entre 150 et 200 ml de lait. Il vous fera comprendre si les quantités sont adaptées à sa faim.

 

UNE  JOURNÉE TYPE POUR UN BÉBÉ DE 6 À 7MOIS

 

Petit-déjeuner : lait maternel ou un biberon de lait de suite avec 3 à 4 cuillères à café de farines infantiles

Déjeuner : une purée de légumes ou un petit pot de légumes avec une cuillère à café de viande ou poisson mixés. Finir le repas avec une petite compote ou un fruit cru bien mûr et mixé, si besoin est.

Goûter : lait maternel ou biberon de lait de suite.

Dîner : une purée de légumes. Pas de viande, ni poisson ni œuf (il les a eus au déjeuner). Terminer par une petite compote ou un fruit frais mixé. Si l’enfant tient à son biberon du soir, on peut lui en donner une petite quantité.

Concernant les volumes de lait dans les biberons, et si l’enfant n’en prend que deux (l’un au petit-déjeuner et l’autre au goûter), ils peuvent être un peu volumineux : compter 200 à 250 ml par biberon.

 

De plus votre enfant a besoin d’au moins 500 ml de lait infantile par jour (ou de lait maternel) ; ce volume est nécessaire pour couvrir 70% de ses besoins nutritionnels. En effet, les autres aliments sont en trop petites quantités pour représenter un apport nutritionnel significatif. Ils sont surtout là pour l’éveil aux goûts et aux saveurs.

 

Les pièges à éviter pour réussir la diversification alimentaire de bébé

 

-Eviter de diversifier trop tôt

 

Jusqu'à 6 mois, le lait maternel (idéalement) ou le lait premier âge sont adaptés à la physiologie du tout-petit et couvrent parfaitement ses besoins. Avant cet âge, il est inutile de donner à un nourrisson une autre nourriture que le lait maternel.

Comme son appareil digestif et la barrière immunitaire intestinale sont immatures, le risque de sensibilisation aux principaux allergènes alimentaires est réel. Le danger est plus grand encore si le tout-petit présente un terrain atopique, c'est-à-dire s'il souffre d'eczéma ou si l'un de ses deux parents est allergique.

De plus, la coordination musculaire qui permet à la langue de faire passer les aliments de l'avant à l'arrière de la bouche n'est pas encore parfaite : le bébé repousse vigoureusement avec sa langue les aliments solides ou pâteux.

Pour toutes ces raisons, les médecins recommandent de commencer à diversifier les aliments vers 5 mois. Pour un tout-petit ayant un terrain allergique, cette étape est repoussée : on attend 6 mois révolus.

 

- Ne pas abandonner le lait maternel trop vite

Introduire des aliments solides dans les repas de votre tout-petit ne signifie pas diminuer de façon drastique l'apport du lait ou, chose courante, abandonner le lait maternel de suite pour le lait commercial . Une étape qui, d'après les pédiatres, se fait en général beaucoup trop tôt, vers 7 mois et demi en moyenne. Les laits de suite et de croissance ont de vrais atouts : ils contiennent des protéines, du lactose, des acides gras essentiels, des vitamines, du fer.

Au moment de la diversification alimentaire, la ration quotidienne de lait de suite doit être d'au moins 500 à 600 ml jusqu'à l'âge de 1 an sous peine de diminuer la ration énergétique du bébé et de l'exposer à un manque de calcium. Autant de raisons qui expliquent que les spécialistes recommandent les laits de croissance jusqu'à l'âge de 3 ans.

 

-Ne pas donner trop de protéines animales

 

Elles sont réputées pour être les « bâtisseuses » d'organisme et donner de la force. Résultat, les mamans ont tendance à augmenter les rations de leur tout-petit... Or, des quantités trop importantes de viande, de poisson ou d'oeuf apportent trop de protéines. C'est un facteur de déséquilibre qui pourrait favoriser ultérieurement des problèmes de poids.

La viande, l'oeuf ou le poisson doivent rester des compléments (pas plus de 10 grammes par jour à 8 mois) et non devenir l'essentiel de son repas. Un demi-litre quotidien de lait de suite assure la quasi-totalité des besoins en protéines de votre enfant.

 

-Eviter de proposer trop de sucre

 

Tous les enfants ont une attirance innée pour la saveur sucrée. Pendant leur première année, mieux vaut les habituer aux aliments qui n'en contiennent pas ou peu (fruits exceptés). En effet, l'excès de sucre prédispose aux caries et à la prise de poids.

 

-Evitez les jus de fruits et les laitages aromatisés-sucrés du commerce. Si vous donnez à votre tout-petit une demi-banane écrasée, n'ajoutez pas de sucre !

Sucrez très peu les compotes maison

 

- Commencer par les farines de céréales

Pour les bébés qui ont un gros appétit, les farines de céréales représentent un petit supplément énergétique préférable à une augmentation du volume de lait pouvant occasionner des reflux. A partir de 6 mois, vous pouvez utiliser les farines sans gluten (une protéine susceptible d'être mal tolérée) à base de riz ou de maïs. Pour éviter tout risque d'allergie, les farines avec gluten - blé, orge, avoine - ne seront introduites qu'après l'âge de 1 an. Les céréales infantiles constituent un petit déjeuner complet et équilibré. C'est idéal pour habituer le tout-petit à faire un vrai repas le matin.

 

 

-Continuer avec les fruits et les légumes

 

Les fruits et les légumes sont riches en eau et représentent une source importante de vitamines, minéraux, oligo-éléments, glucides et fibres. Grâce à leur diversité de goûts, de couleurs et de formes, ils participent à une bonne éducation nutritionnelle.

Dès 6 mois, votre bébé appréciera des légumes doux au goût, bien cuits et peu filandreux : carottes, courgettes, épinards, aubergines... Optez pour des légumes frais et nature. Faites évoluer la texture au fil du temps : légumes mixés à 6 mois, moulinés avec quelques grumeaux à 7 mois, écrasés à la fourchette à 12 mois . Les crudités n'ont pas leur place avant 1 an car elles irritent le colon.

Les fruits possèdent les mêmes qualités que les légumes. Commencez par les compotes. Deux ou trois mois après, vous pourrez lui proposer des fruits crus, bien mûrs (pomme, poire, banane,...). Ne forcez pas sur les jus de fruits, ils donnent au tout-petit le goût du sucré. Evitez le jus d'orange pressée avant l'âge de 1 an, il est parfois mal toléré et peut entraîner des ballonnements. Oubliez les fruits exotiques (kiwi, mangues...) qui sont potentiellement allergisants.

 

-Puis la viande, le poisson et les oeufs

 

La viande, le poisson et les oeufs sont riches en protéine, qui joue un rôle fondamental dans la croissance de votre bébé. Vous pouvez commencer à les intégrer à son menu vers 7 mois mais, si votre enfant est allergique, attendez l'âge de 1 an.

Préférez les viandes peu grasses - comme le boeuf, l'agneau, le poulet ou la dinde -, que vous servirez rôties ou grillées. Rouges ou blanches, toutes les viandes ont la même valeur nutritive pour votre bébé. Seule charcuterie autorisée : le jambon blanc dégraissé.

Les poissons (carpe, chinchard) sont faciles à préparer et peu chers..Préparez- à la vapeur.

Pour les oeufs, commencez par un jaune bien cuit. L'œuf entier ne sera proposé qu'à partir de 9-10 mois pour éviter une allergie aux albumines du blanc.

 

A partir de 7 mois : ne pas oublier

- Les matières grasses 

Ajoutez aux légumes un peu de beurre, riche en vitamine A - précieuse pour la vue -, ou un filet d'huile végétale pour les acides gras essentiels qui sont nécessaires à l'élaboration du système nerveux.

- Les laitages (Les yaourts surtout)

Ils sont une bonne source de calcium... mais aussi de protéines et ne doivent donc pas se substituer systématiquement au lait infantile. On trouve aux rayons frais des supermarchés des laitages de croissance fabriqués avec du lait de suite. Faites goûter à votre enfant un peu de fromage s'il l'accepte.

-  les pâtes alimentaires fines

Pensez au vermicelle et attendez l'âge de 1 an pour le riz afin d'éviter tout risque de fausse route.

Il ne faut pas répondre systématiquement aux pleurs de votre bébé par un biberon. Il n’a pas forcément faim ! Mais pas toujours facile de décrypter ses pleurs. C’est la difficulté éprouvée par la plupart des parents, qui lui offrent ce que l’on peut appeler un « réconfort alimentaire  ». Avant de vous dire qu’il a faim, demandez-vous s’il a soif, s’il a besoin de vos bras ou, tout simplement, envie de sucer par plaisir.

Ne le forcez pas s’il refuse un nouvel aliment. Il risquerait de se braquer davantage, voire de développer une réelle aversion alimentaire. Et ne tentez pas de le séduire avec une phrase du genre : « Allez, fais-moi plaisir, mange ! » Une maman qui prépare des petits plats avec amour, c’est bien, mais une mère qui force son petit à manger lui fait violence ! En revanche, rien ne vous empêche de lui reproposer, plus tard, le même aliment et, pourquoi pas, sous une autre forme (purée, soupe…). Il finira par y goûter.

Il est préférable de passer le relais au papa quand ça coince. Parce que celui-ci va s’y prendre d’une autre façon pour lui donner à manger, avec plus de distance et moins d’affect. Face à un bébé qui refuse de manger (souvent pour s’opposer à sa maman), le père parvient parfois à casser un rapport mère-enfant trop fusionnel.

Voilà donc quelques conseils qui lui permettront au bébé de prendre son envol sensoriel avec joie et gourmandise et de débuter la diversification alimentaire sereinement.

 

 

Merci de toujours me lire !! 

 

#Diététiquement

#YasmineDiet


01/07/2020
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